Certaines des marques de vêtements de style de vie les plus avant-gardistes, de plein air et d'aventure, et de sports d'action et de performance se tournent vers Timebomb Trading lorsqu'elles veulent mieux atteindre le marché canadien. L'entreprise s'est forgé une excellente réputation non seulement en distribuant des vêtements, mais aussi en exploitant des boutiques en ligne basées au Canada et en faisant la promotion des articles à l'aide de programmes de marketing et de campagnes dans les médias sociaux. Timebomb apporte en outre son expertise dans les domaines de la vente, de la vente au détail en magasin, du commerce électronique, du marketing, de l'organisation d'événements, de la logistique de tiers, du service à la clientèle et de la fabrication.
Timebomb Trading détient des accords de distribution exclusifs avec ses marques de vêtements, dont beaucoup sont recherchées par les millennials ou ceux qui ont soif d'aventure, comme Stance socks, Roark apparel, Rumple blankets, et Topo Designs, entre autres. La distribution et le service d'une telle variété de marques exclusives exigent de l'agilité, un service à la clientèle exceptionnel et la flexibilité nécessaire pour réagir rapidement dans l'industrie de la mode et de l'habillement de performance, qui évolue rapidement et constamment.
Pendant des décennies, Timebomb Trading a géré ses opérations à l'aide d'un ancien système ERP Sage sur site qui avait du mal à suivre l'évolution. Son partenaire informatique de confiance avait créé une multitude de personnalisations au fil des ans pour combler le fossé des applications logicielles déconnectées que l'entreprise utilisait pour fonctionner.
Ces systèmes comprenaient Shopify, une solution d'e-commerce utilisée pour gérer les neuf sites d'e-commerce de la marque ; Elastic, une plateforme B2B utilisée pour permettre à 500 détaillants canadiens de précommander les vêtements de la marque au fur et à mesure de la sortie des nouvelles lignes ; et EasyPost, son logiciel d'expédition. Mais ces applications tierces n'étaient pas connectées à son système financier et les données devaient être importées et exportées manuellement entre les systèmes.
En outre, à mesure que les transactions augmentaient, l'ancien système n'était pas stable, tombait souvent en panne et prenait parfois des jours pour être restauré, ce qui signifiait que les boutiques en ligne étaient fermées, explique Lester Yuen, vice-président. "C'était un bon système pour nous au début, mais il n'était pas basé sur le cloud, et nous avons appris que l'ancien produit Sage était en train d'être abandonné et qu'il ne serait plus entretenu".
"Il n'y avait pas de service en cas d'incident, nous ne pouvions donc pas le réparer, et nous devions acheter et entretenir des serveurs supplémentaires lorsque le système fonctionnait lentement", ajoute-t-il. "Il n'y avait plus de personnalisation possible et nous devions toujours télécharger manuellement les numéros de suivi.
L'inventaire n'était mis à jour que toutes les heures, ce qui posait problème lorsque des articles très demandés étaient en rupture de stock dans ce laps de temps. Les employés de l'entreprise devaient également saisir manuellement des milliers de nouvelles UGS toutes les trois ou quatre semaines avant chaque saison et chaque lancement de ligne de mode, pour les remplacer ensuite lorsqu'elles n'étaient plus disponibles.
En outre, il était difficile de suivre les commandes de manière appropriée. Timebomb vend et distribue les produits de marque de trois manières :
- Les détaillants pré-réservent les commandes par l'intermédiaire d'Elastic, une plateforme B2B qui s'accompagne de ses propres exigences en matière de formatage des données.
- Les consommateurs canadiens effectuent des achats par l'intermédiaire de ses nombreux sites de vente en ligne Shopify.
- Les commandes sont passées par la boutique en ligne limitée de Timebomb.
Comme l'entreprise n'avait acheté qu'un nombre limité de licences par siège pour l'ancien système ERP, les cadres devaient gérer les utilisateurs dans le système, en demandant à certains de se déconnecter pour que d'autres puissent effectuer leur travail, ce qui faisait perdre du temps et perturbait les journées de travail des employés.